Pour moi il est hors de question de discuter la sentence que je rends. Pas de remise de peine non plus. Le plus souvent le condamné doit honorer mes fesses comme il se doit et sa langue doit etre convaincante.. C'est pourquoi dans un premier temps je l'oblige à s'agenouiller derrière moi afin de rendre hommage à mon cul. La caresse doit etre profonde chaude et assidue. Il ne s'agit pas de se débarrasser d'une tache domestique mais de vouer une véritable adoration à la raie qui s'offre à la bouche. Le balayage de la raie n'est que le prémice à ce qui va devenir pour de longues heures une forme de dévotion. Je veux sentir le moelleux, le velours, la soumission de cette langue appelée à travailler autour et dedans. Jusqu'à ce que l'anneau se détente et libère un gaz délicat qui doit etre inhalé avec passion. Ce n'est qu'à l'issue de cette visite approfondie que j'applique la peine prononcée. En m'asseyant sur le visage  du soumis je ressens alors toute la plénitude de  ma fonction et de mon emprise sur lui. Mes fesses l'étouffent certes mais le lecheur doit demeurer actif. Si je m'assois complètement sur sa face je ne veux entendre aucune récrimination sans risque d'un étouffement beaucoup plus fort. La seule clémence que le brouteur peut espérer est la satisfaction que doit éprouver ma rondelle au contact de ses caresses. Dès lors je sais me montrer magnanime en arrosant son visage d'un jet doré.

Execution Immédiate!

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