Quand on est flic on connaît la procédure. Si le gardé à vue a le droit de conserver le silence, pas de problème, c'est la loi. Avec moi, il ne se retrouve pas en cellule mais dans ma smother box et il doit  y méditer pendant un bon moment. Quand mes fesses viennent se poser sur son visage, il ne sait pas combien de temps va durer l'interrogatoire. Le confinement dans cet espace réduit le met en condition. A chaque question qu'il perçoit alors que je redige mon rapport en étant confortablement assise il doit répondre  selon le code que j'ai fixé. Une langue pointue dans l'anus pour dire oui. Une langue balayeuse le long de la rie pour dire non. En cas d'absence de réponse à la question posée j'appuie mon assise pour l'étouffer sous mon cul jusqu'à ce ses mains et ses jambes s'agitent dans tous le sens. Généralement, l'interrogatoire porte ses fruits et quand la langue se met à glisser docilement à l'intérieur de mon fourreau, qu'elle lisse les parois et tourne en boucle, c'est que les aveux ne sont pas loin. Une poussée sonore et odorante vient parfois mettre un terme à l'audition. Preuve d'une bonne volonté réciproque.

Lors des aveux je m'offre un plaisir intense!

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Quand j'enfile ma robe de juge les condamnations pleuvent et c'est toujours sur mon siege que je rends les verdicts.  Pas question de discuter ma décision sous peine de se retrouver pour un long moment dans ma box. Naturellement je ne porte pas de culotte. Peu m'importe que le soumis  ait quelque difficulté à trouver sa respiration dans cet espace réduit pourvu que son nez et surtout sa langue s'activent efficacement dans ma raie passant et repassant inlassablement  autour et à l'intérieur de mon petit trou. Le rembourrage en cuir assure à mes fesses un confort maximum et il n'est pas rare que j'oublie de libérer le condamné bien après le délai fixé. Le temps pour moi de relire mes futurs dossiers  tout en savourant une délicate feuille de rose.

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